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Publié le 09 juillet 2024

« Sous le signe de l’inclusion », découvrez notre rapport annuel 2024 !

Dans le monde professionnel actuel, les entreprises jouent un rôle essentiel dans la promotion d’un climat de confiance et d’engagement. L’inclusion et la diversité ne sont pas de simples tendances, mais des piliers fondamentaux pour toute organisation moderne et socialement responsable. La Fédération Syntec a souhaité dédier sa publication annuelle au thème de l’inclusion, l’occasion de partager les initiatives menées depuis plusieurs années par l’organisation mais également par ses syndicats membres et les secteurs qui les composent.

Cette publication revient sur les réalisations qui ont marqué l’année écoulée et les enjeux à venir qui témoignent de l’engagement des secteurs d’avenir (numérique, ingénierie, conseil, événementiel et formation professionnelle) à créer un environnement professionnel plus inclusif et équitable pour tous. Ont notamment contribué à cette réflexion :

  • Marie-Pierre Rixain, députée LREM de l’Essonne
  • Delphine de Swardt, docteure en communication et conteuse
  • Françoise Farag, Présidente de la Commission inclusion de Numeum et présidente de Salvia Développement
  • Elsa Sauternes, Cheffe de Projet géotechnique chez Sweco
  • Audrey Montecatine Directrice exécutive en charge des ressources humaines et de la RSE pour Viparis
  • Pauline Sachot, Responsable des ressources humaines chez Bartle
  • Caroline Belin, Coordinatrice du dispositif Inclu’Pro chez Osengo

 

Retrouvez l’ensemble des témoignages et des articles de cette publication
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Action publique et responsable
09 juillet 2024
Fuite des cerveaux : la Fédération Syntec alerte sur l’hémorragie continue des talents qualifiés, une menace directe pour l’innovation et la compétitivité françaises
La Fédération Syntec dévoile aujourd’hui les résultats d’un baromètre inédit sur la fuite des cerveaux conduit avec l’institut Ipsos bva. Chaque année, près de 15 000 jeunes diplômés issus des écoles françaises d’ingénieurs et de management choisissent de commencer leur carrière à l’étranger, alors que l’État a consacré à leur formation près d’un milliard d’euros. Loin d’être un phénomène ponctuel, cette hémorragie lente et continue des talents hautement qualifiés traduit une érosion silencieuse mais durable du potentiel scientifique, technologique et économique de la France. Sans remettre en cause l’intérêt de compléter les formations scientifiques ou managériales à l’étranger, la Fédération Syntec appelle à créer les conditions nécessaires pour retenir ces talents, indispensables à l’innovation, à la compétitivité à la réindustrialisation et à la souveraineté du pays.